C'est la fin... Le FANZINE DÉTRITUS no.4 aura été le dernier à paraître dans sa forme imprimé. Le voici dans son intégralité.
L'expérience
Détritus aura été pour moi une belle expérience mais bien trop courte.
Merci à tous les participants et à la prochaine fois, on ne sait jamais.
ps.: Il me reste des copies du Fanzine Détritus, s'il y en a qui sont intéressé, contactez-moi.
Le retour du FBDFQ s'est fait dans le froid et l'amertume. La grippe était au rendez-vous et la neige (sur des pneus d'été) ont participé à la catastrophe.
RépondreSupprimerRécapitulation...
Vendredi, réveil grippé, voyage de 2h30 ensoleillé (Valcourt-Québec). Arrivé dans les stationnement du centre des congrès de Québec, la lourde valise de cahier à dessins me lâche et fait étalage de son contenu au beau milieu du chemin devant les voitures aux conducteurs impatients. Quelques klaxons plus tard, après avoir retapé l'odieuse mallette, j'ai les bras plein: porte folio sous le bras et lourde mallette sans poignée d'un coté, et une précieuse boite de la dernière édition du zine Détritus. Après l'ascenseur bondé, c'est le long corridors (ponctué d'arrêt pour changé de bras) qui mène jusqu'au première porte du Salon. La sueur commence à perler et le grain de bonne humeur matinal disparait peu à peu. Un escalier mécanique me sourit et au sommet c'est la foule. Je suis chargé comme un mulet et c'est au coude à coude que je dois me rendre jusqu'à l'acceuil pour prendre mon accréditation d'auteur exposant. Je reprend mon souffle, ma bonne humeur, mes poids lourds et le chemin encombré de jeune qui court en tous sens. (C'est vrai, on est vendredi, un jour d'école). Je zigzag à travers la foule, le pas pressé par le poids de mes trésors jusqu'au kiosque de l'auto-édition/phylactère. Il est 9h15, je suis enfin arrivé, épuisé par le trajet marathon et assailli par la grippe qui me prend à la tête. Ouf!... Plus que quinze minutes avant les dédicaces... Heureuse pause!... Juste le temps de me préparer. Mais aujourd'hui je suis nul et je le sens. Une seul dédicace, alors je dessine pour la caméra qui saisi mes coups de crayons rageurs.
De onze à une treize heures je suis au kiosque de l'auto-édition et je mets mon plus beau sourire... L'après-midi est bondé de monde. Les enfants de la matinée on fait place à des ado... mais la grippe fait du zèle.
Un petit bonjour à Adeline Lamarre qui prends la relève au kiosque, puis je quitte mon premier jours de Salon tôt, grugé par un vilain virus qui s'en donne à coeur joie.
Samedi... Je suis scrap!... Mais vraiment scrap!... Je fais mon tour de garde au kiosque complètement assommé par les médicaments. Re-bonjour Adeline qui, elle aussi, semble grippé. Vers midi, je n'en peu plus, rien ne va plus, je quitte mon second jour du Salon le moral à zéro, zéro, zéro. Au passage je fait l'achat d'une valise avec une poignée rétractable.
Dimanche!... C'est LA journée, puisque je dois rester jusqu'à la fermeture à 17h00. Tour de garde au stand de 9h00 à 11 heure... Mieux qu'hier. Je rencontre Jacques Lamontagne qui me dédicaces mes deux ASPIC, toujours aussi sympatique.
Aujourd'hui, je prends le temps de flâner à travers les kiosques du Salon. Je bouquine par ci par la. J'ai l'air d'un moribond. Je me trouve un petit coin tranquille et je mets tout à off.
16h30... Je commence emballé mes zines. Piètre performance.
Je récupères tous mes fanzines envoyé au Salon. La boite s'est alourdit, mais j'ai ma nouvelle valise semi-rigide à roulette avec sa poignée rétractable. Phylactère me prends 5 copies de chaque numéros en consignation... Merci Phylactère. Retour à la maison avec l'esprit aussi maussade que le ciel.
À Suivre...
J ai recu ma copie de Detritus quand je suis revenu chez moi pour la fin de semaine des patriotes ( fete de la reine ici au BC). Merci
RépondreSupprimerJe te fais parvenir des BD pour ton Zine via mon blog car je suis a l exterieur pour encore un petit bout de temps.